Kermânchâh, située au milieu des monts Zagros, a toujours été considérée par les gens de l’âge de pierre en raison de son climat, de sa nature montagneuse et de l’existence d’abris et de grottes naturelles.

Les historiens ont estimé que l’âge historique de Kermânchâh se situait entre 8 000 et 12 000 ans, et contrairement à d’autres parties de l’Iran qui ont été habitées temporairement, cet endroit a toujours été habité par des humains à différentes périodes.

Au cours de la période seldjoukide au 11ème siècle après JC, Kermânchâh a été choisi comme la ville principale du Kurdistan.

La ville de Kermânchâh se termine du nord à la montagne Farrokhshad, du nord-ouest au Taghbestan et du sud à Sefid Kuh, et est l’une des autoroutes de communication est-ouest et le plus ancien passage de l’Iran à la Mésopotamie.

La ville de Kermânchâh a un climat montagneux tempéré. Au IVe siècle après JC, la ville de Kermânchâh, qui était à l’époque un village au climat agréable, fut choisie comme deuxième résidence du royaume sassanide.

La langue des habitants de Kermânchâh est le kurde et le persan. Certaines personnes à Kermânchâh parlent le kurde, le dialecte kalhori.

Kermânchâh est l’un des centres de la musique kurde et iranienne. Des personnages célèbres de cette ville et des villes voisines sont apparus dans la musique qui ont joué un rôle important dans l’art de la musique.